Cet atelier s’adresse aux adolescents qui se sentent perdus avec leur image et leur parole et qui aspirent à trouver le style qui leur permettra de se faire une place.
Tous les moyens sont bons pour te soutenir dans ton invention, aucun support d’expression ne sera censuré. La photo, l’écriture, la couture, ou encore le dessin, nous t’accompagnons dans ta recherche de style. TikTok n’a qu’à bien se tenir !
Public accueilli
Adolescents de 12 à 16 ans
Problématiques
Troubles du comportement alimentaire, conduites à risques, dépression, harcèlement, phobie scolaire et/ou sociale, troubles somatiques sévères (cancer, alopécie, myopathie, handicap), troubles du langages, haut potentiel.
Tu ne sais jamais comment t’habiller ? Tu te demandes comment font les autres pour trouver leur style ? Tu n’aimes pas le reflet que te renvoient les miroirs ? Tu te sens intimidé par le regard des autres ?
Bien mieux qu’un relooking, nommer ce qui nous différencie des autres pour en faire le point de départ de son propre style constitue le vrai challenge de cet atelier.
L’adolescence est le temps de la confrontation à l’énigme du corps qui change et qui vient modifier l’image en même temps que se produit la chute des identifications de l’enfance. Ce surgissement d’un réel dans le corps corrélé à la perte de la place à laquelle il était assigné par ses parents induit une grande fragilité du sujet adolescent. La honte est l’affect majeur de ce passage et elle porte le plus souvent sur ce qui singularise l’adolescent, sur sa petite différence quant aux autres.
Cet atelier est un dispositif visant à repérer, nommer, travailler, inscrire dans le lien social ou tout au moins savoir se servir de cette petite différence pour trouver sa place.
Nous misons sur la conversation comme outil du bien dire, celui de la précision de formuler le plus finement possible les contours de son symptôme. Bien dire qui peut aussi permettre à l’adolescent en panne de se construire un « escabeau », le piédestal qui lui permet de s’élever lui-même, sur lequel il monte pour se faire beau (cf. J.-A. Miller, « L’inconscient et le corps parlant », La Cause du désir, n° 88, mars 2014).
Cet atelier s’adresse aux adolescents qui se sentent perdus avec leur image et leur parole et qui aspirent à trouver le style qui leur permettra de se faire une place.
Tous les moyens sont bons pour te soutenir dans ton invention, aucun support d’expression ne sera censuré. La photo, l’écriture, la couture, ou encore le dessin, nous t’accompagnons dans ta recherche de style. TikTok n’a qu’à bien se tenir !
Public accueilli
Adolescents de 12 à 16 ans
Problématiques
Troubles du comportement alimentaire, conduites à risques, dépression, harcèlement, phobie scolaire et/ou sociale, troubles somatiques sévères (cancer, alopécie, myopathie, handicap), troubles du langages, haut potentiel.
Tu ne sais jamais comment t’habiller ? Tu te demandes comment font les autres pour trouver leur style ? Tu n’aimes pas le reflet que te renvoient les miroirs ? Tu te sens intimidé par le regard des autres ?
Bien mieux qu’un relooking, nommer ce qui nous différencie des autres pour en faire le point de départ de son propre style constitue le vrai challenge de cet atelier.
L’adolescence est le temps de la confrontation à l’énigme du corps qui change et qui vient modifier l’image en même temps que se produit la chute des identifications de l’enfance. Ce surgissement d’un réel dans le corps corrélé à la perte de la place à laquelle il était assigné par ses parents induit une grande fragilité du sujet adolescent. La honte est l’affect majeur de ce passage et elle porte le plus souvent sur ce qui singularise l’adolescent, sur sa petite différence quant aux autres.
Cet atelier est un dispositif visant à repérer, nommer, travailler, inscrire dans le lien social ou tout au moins savoir se servir de cette petite différence pour trouver sa place.
Nous misons sur la conversation comme outil du bien dire, celui de la précision de formuler le plus finement possible les contours de son symptôme. Bien dire qui peut aussi permettre à l’adolescent en panne de se construire un « escabeau », le piédestal qui lui permet de s’élever lui-même, sur lequel il monte pour se faire beau (cf. J.-A. Miller, « L’inconscient et le corps parlant », La Cause du désir, n° 88, mars 2014).