10 allée Chateaubriand
35760 Saint-Grégoire
Petit a est une invention qui nous permet de regrouper un ensemble de pratiques aux formes d’apparence variées mais toutes orientées par la psychanalyse et vers un même but.
Notre intention, ou plutôt notre idéal, est d’élaborer des prises en charge singulières et des dispositifs adaptés à l’impasse de chacun, qu’elle se situe dans l’intimité, dans la sphère sociale ou encore dans le champ professionnel. Toutes nos modalités d’intervention sont autant de mises en scène d’un même écueil ; elles cherchent à répondre au Que faire ? que nous nous posons tous lorsque nous sommes confrontés à de l’impossible, de l’impuissance, au sentiment d’échec.
L’équipe de Petit a accueille des demandes singulières – un symptôme, un cas de harcèlement en milieu scolaire, un événement violent en institution – et propose, à partir de son diagnostic, un dispositif pertinent.
Nous misons pour ce faire sur des pratiques contemporaines de rencontres : des consultations, des ateliers, des supervisions et des formations cliniques, aux formes mouvantes, qui dépendent des demandes, des rencontres, des possibilités d’accueil. Ces dispositifs soutiennent qu’un espace et un temps de dialogue dédiés à ses impasses permettent d’inventer de nouvelles voies.
Petit a est la déduction concrète de notre désir de clinique.
Géraldine Michaux est psychologue clinicienne diplômée d’un MASTER II de psychologie clinique et pathologique obtenu à l’université de Rennes II en 2008.
Son expérience clinique et institutionnelle depuis plus de dix ans s’est construite au sein de la psychiatrie, du médico-social et du socio-éducatif. Des services de réinsertion sociale aux consultations universitaires et des services de protection de l’enfance aux accueils d’urgence, elle a exercé auprès d’un public hétéroclite. Elle a particulièrement apprécié sa pratique dans des dispositifs consacrés à la parentalité ainsi qu’aux victimes de violence. Son engagement dans Petit a est d’abord issu de son désir de partager et de transmettre les concepts fondamentaux permettant d’accueillir et de prendre en charge le mal-être et le malaise inhérents à toute forme ou formation humaine. Cet engagement vient aussi répondre à sa volonté de modeler les dispositifs de soin en fonction des besoins et non plus l’inverse.
Au fil des réunions cliniques et des supervisions qu’elle a animées, le désir de transmettre plus formellement les outils que sont les concepts de la psychanalyse a fait jour. Elle soutient que la rencontre se pense, se manœuvre et s’invente. Et pour que le quotidien en institution laisse une place à la rencontre et offre une utilité thérapeutique, éducative ou pédagogique, la psychanalyse est aujourd’hui une boussole indispensable.
À l’époque de l’évaluation et de la standardisation des pratiques auxquelles sont confrontés les professionnels de la santé et du champ socio-éducatif, à l’heure des traitements cognitifs et médicamenteux, nous serions en droit de nous demander pourquoi une théorie du début du XXe siècle sur les névroses et les troubles affectifs serait à l’ordre du jour ?
La psychanalyse ne s’est pas arrêtée de penser à la mort de Freud. Nous devons au docteur Jacques Lacan une évolution majeure des concepts et leur inscription au plus près de la modernité et de la pratique. Ce travail de précision et d’actualisation se poursuit au sein de l’École de la cause Freudienne, d’associations locales (A.C.F.) et au fil de leurs enseignements.
À partir de ses éclairages précis et précieux, la psychanalyse propose une lecture de notre monde contemporain et offre à chacun le lieu pour élaborer une manière, toujours singulière, de s’y loger.
L’orientation analytique permet d’intervenir et d’exercer en institutions quel qu’en soit l’objet, notamment via l’usage d’outils tels que des réunions cliniques, des groupes de travail thématiques, des analyses de pratiques et toute autre proposition que permet la psychanalyse appliquée.
« C’est plus fort que moi ! »
« J’ai tout essayé mais rien n’y fait. »
« Je ne comprends pas pourquoi j’ai fait ça. »
La psychanalyse prend à sa charge ce qui ne se résorbe nulle part ailleurs, à savoir la pulsion, la répétition, l’impuissance. Elle se spécifie donc d’accueillir ce que les méthodes, les protocoles, les conseils, les injonctions, voire les sanctions, ont échoué à déchiffrer et résoudre. Ce que la médecine ne guérit pas, ce qui résiste aux lois et règlements, ce qui échappe au sens commun, ce qui reste incompréhensible, voilà précisément les sujets fondamentaux de l’orientation analytique.
La psychanalyse n’enseigne pas de méthode prêt-à-porter qui serait valable pour tout et pour tous, mais offre une lecture de l’humain subversive : le salut par les déchets, tel que le formule poétiquement Jacques-Alain Miller. Elle parie sur le désir et la responsabilité de chacun à élucider une part de ce qui se joue en lui, aussi bien qu’autour de lui.
10 allée Chateaubriand
35760 Saint-Grégoire
Petit a est une invention qui nous permet de regrouper un ensemble de pratiques aux formes d’apparence variées mais toutes orientées par la psychanalyse et vers un même but.
Notre intention, ou plutôt notre idéal, est d’élaborer des prises en charge singulières et des dispositifs adaptés à l’impasse de chacun, qu’elle se situe dans l’intimité, dans la sphère sociale ou encore dans le champ professionnel. Toutes nos modalités d’intervention sont autant de mises en scène d’un même écueil ; elles cherchent à répondre au Que faire ? que nous nous posons tous lorsque nous sommes confrontés à de l’impossible, de l’impuissance, au sentiment d’échec.
L’équipe de Petit a accueille des demandes singulières – un symptôme, un cas de harcèlement en milieu scolaire, un événement violent en institution – et propose, à partir de son diagnostic, un dispositif pertinent.
Nous misons pour ce faire sur des pratiques contemporaines de rencontres : des consultations, des ateliers, des supervisions et des formations cliniques, aux formes mouvantes, qui dépendent des demandes, des rencontres, des possibilités d’accueil. Ces dispositifs soutiennent qu’un espace et un temps de dialogue dédiés à ses impasses permettent d’inventer de nouvelles voies.
Petit a est la déduction concrète de notre désir de clinique.
Géraldine Michaux est psychologue clinicienne diplômée d’un MASTER II de psychologie clinique et pathologique obtenu à l’université de Rennes II en 2008.
Son expérience clinique et institutionnelle depuis plus de dix ans s’est construite au sein de la psychiatrie, du médico-social et du socio-éducatif. Des services de réinsertion sociale aux consultations universitaires et des services de protection de l’enfance aux accueils d’urgence, elle a exercé auprès d’un public hétéroclite. Elle a particulièrement apprécié sa pratique dans des dispositifs consacrés à la parentalité ainsi qu’aux victimes de violence. Son engagement dans Petit a est d’abord issu de son désir de partager et de transmettre les concepts fondamentaux permettant d’accueillir et de prendre en charge le mal-être et le malaise inhérents à toute forme ou formation humaine. Cet engagement vient aussi répondre à sa volonté de modeler les dispositifs de soin en fonction des besoins et non plus l’inverse.
Au fil des réunions cliniques et des supervisions qu’elle a animées, le désir de transmettre plus formellement les outils que sont les concepts de la psychanalyse a fait jour. Elle soutient que la rencontre se pense, se manœuvre et s’invente. Et pour que le quotidien en institution laisse une place à la rencontre et offre une utilité thérapeutique, éducative ou pédagogique, la psychanalyse est aujourd’hui une boussole indispensable.
À l’époque de l’évaluation et de la standardisation des pratiques auxquelles sont confrontés les professionnels de la santé et du champ socio-éducatif, à l’heure des traitements cognitifs et médicamenteux, nous serions en droit de nous demander pourquoi une théorie du début du XXe siècle sur les névroses et les troubles affectifs serait à l’ordre du jour ?
La psychanalyse ne s’est pas arrêtée de penser à la mort de Freud. Nous devons au docteur Jacques Lacan une évolution majeure des concepts et leur inscription au plus près de la modernité et de la pratique. Ce travail de précision et d’actualisation se poursuit au sein de l’École de la cause Freudienne, d’associations locales (A.C.F.) et au fil de leurs enseignements.
À partir de ses éclairages précis et précieux, la psychanalyse propose une lecture de notre monde contemporain et offre à chacun le lieu pour élaborer une manière, toujours singulière, de s’y loger.
L’orientation analytique permet d’intervenir et d’exercer en institutions quel qu’en soit l’objet, notamment via l’usage d’outils tels que des réunions cliniques, des groupes de travail thématiques, des analyses de pratiques et toute autre proposition que permet la psychanalyse appliquée.
« C’est plus fort que moi ! »
« J’ai tout essayé mais rien n’y fait. »
« Je ne comprends pas pourquoi j’ai fait ça. »
La psychanalyse prend à sa charge ce qui ne se résorbe nulle part ailleurs, à savoir la pulsion, la répétition, l’impuissance. Elle se spécifie donc d’accueillir ce que les méthodes, les protocoles, les conseils, les injonctions, voire les sanctions, ont échoué à déchiffrer et résoudre. Ce que la médecine ne guérit pas, ce qui résiste aux lois et règlements, ce qui échappe au sens commun, ce qui reste incompréhensible, voilà précisément les sujets fondamentaux de l’orientation analytique.
La psychanalyse n’enseigne pas de méthode prêt-à-porter qui serait valable pour tout et pour tous, mais offre une lecture de l’humain subversive : le salut par les déchets, tel que le formule poétiquement Jacques-Alain Miller. Elle parie sur le désir et la responsabilité de chacun à élucider une part de ce qui se joue en lui, aussi bien qu’autour de lui.